Journées Technique d’Information (JTI) 2024

Journées Techniques d’Information
Vogüé – 16 et 17 novembre 2024

Introduction
S’impliquer, c’est aussi se préparer, se former aux différents rôles en tant que militant, c’est l’objectif des JTI, pour être formé, pas formaté : seul on avance, ensemble on va plus loin.
Présentation des ateliers (samedi) :
- Les valeurs du mouvement FFMC : comment les expliquer, comment les transmettre (groupe de travail Projet associatif et Commission formation)
- L’utilisation des plateformes de communication externes
- Le rôle des délégués bénévoles au niveau des antennes : bonnes pratiques pour une synergie dans l’intérêt des motards
Conférences (dimanche) :
- Présentation sur la compréhension des médias, par Frédéric Jeorge
- Panorama des travaux des groupes de travail et commissions de la FFMC (Projet associatif, Mobilité, Jeunes, ERJ et commission Formation)
Atelier : l’utilisation des plateformes de communication externes
Présenté par Homère et Rodrigue
Définition :
La communication externe regroupe l’ensemble des actions mises en œuvre par une organisation pour s’adresser à son public extérieur. Elle vise à donner une bonne et meilleure visibilité à une entreprise (ou à une association).
Les 86 antennes drainent 782 091 abonnés (followers), essentiellement par Facebook (en second, on trouve Instagram avec 5 % des abonnés).
Dans cet atelier, il ne sera évoqué que les 4 plateformes les plus utilisées par les antennes :
- Site internet
- Facebook (environ 6 200 abonnés moyens)
- Twitter (480 abonnés en moyenne)
- Instagram (654 abonnés en moyenne)
Boite à outils de communication
Typologie de communication
- Articles sur le site
- Images et vidéos sur Instagram
- Texte sur Twitter (propos de « bar PMU »)
- Facebook est tout à la fois, multimédia, multiusage, multifonction
Façon de communiquer
- Instagram :
- Esthétisme et cadrage
- Simplicité (1 post, billet, article, information = 1 message)
- Interactivité avec questionnement et @ et #
- Vérifier le contenu
- Description (les premiers mots, être bref, la forme)
- Le « call out » pour faire réagir
- #, mots-clés et émojis
- Site internet
- Intelligible (mise en avant, contenus multimédias, orthographe)
- Clair (permettre plusieurs niveaux de lecture avec des points d’accroche)
- Accessible (liens des réseaux sociaux, liens externes et sources)
- Twitter, réseau pour se faire entendre
- Efficace (texte court et percutant, 1 post = 1 message)
- Informatif (mise en avant d’actualité, prévenir de nos actions)
- Interaction (instaurer des débats, questions à la communauté) mais évitez le sujet des vélos, c’est risqué (fait monter l’audience, mais grand risque d’insultes et autres)
- Texte clair et efficace + orthographe
- Ton avec vocabulaire familier, de l’humour
- Trollage en posant des questions
- Utiliser les # très importants, ne pas hésiter à en créer
- Enjoliver le post (photos, vidéos, liens, mentions)
- Facebook
- Permet de l’Instagram, un peu de site internet, un peu de Twitter
- Identifier l’objectif
- Choisir le contenu à partager et dans quel format
- Le « call out » pour pousser à l’interaction, faire réagir
- #, mots-clés et émojis
- Choix de l’horaire de la publication (si possible)
- Permet de l’Instagram, un peu de site internet, un peu de Twitter
Choix de l’image
- Sa propre image
- Esthétisme
- Simplicité
- Intelligible
- Image déjà existante
- Attention aux droits d’auteurs
- Banque d’images libres de droit : Freepix ou Pixabay
- Image générée par IA (sites Copilote ou Microsoft Designer)
- Facile, rapide, gratuit, accessible
- Celui qui l’a créé en est l’auteur
- La bonne image accrocheuse et cohérente
- Simplicité et intelligibilité (ni trop vide ni trop fouillis)
- Intégration du texte (taille de texte appropriée, utilisation de bandeaux)
- Faire des liens avec les réseaux sociaux (QR codes, liens)
- Colorimétrie (3 couleurs maximum, la police de caractère doit ressortir du fond)
Conseils et stratégie
Conseils en vrac
- Avec une image : + 30 % de visibilité
- Timing : communiquer toutes les semaines + la veille/communiquer régulièrement
- Bons horaires : le matin, à midi, le soir
- Répondre aux commentaires
- Apport d’informations
- Interactions avec sa communauté
- Animer sa communauté
- Gérer les commentaires épineux
- Jouer sur l’autodérision
- Bannir (risque de revenir sur un autre nom) ou masquer (l’auteur ne le sait pas)
- Utilisation de mèmes = une image ou une vidéo
Stratégie de communication
- Le partage de contenu
- Site : article publié + relayer sur Twitter et Facebook
- Vidéo postée sur Instagram + relayer sur Twitter et Facebook
- Vidéo postée sur YouTube + relayer sur Twitter, Instagram et Facebook
- Nouveau post Facebook + relayer sur Twitter
- Raisons
- Instagram : 25.9 millions d’utilisateurs/40 %
- > 50 % entre 15 et 35 ans
- Facebook : 30.4 millions/40 %
- > 60 % plus de 64 ans
- Twitter : 20.3 millions/30 %
- Instagram : 25.9 millions d’utilisateurs/40 %
- Durée de vie des messages :
- Twitter : 18 minutes
- Facebook : 5 heures
- Instagram : 21 heures
- Site internet : 2 ans
- Faire une communication à 360° pour toucher tout le monde
Conclusion : il faut adapter la communication entre plusieurs médias pour un même sujet.
Atelier : le rôle des délégués bénévoles au niveau des antennes
Objectif : comment on avance ensemble pour aider les motards (le défendre, le former, l’assurer).
Historique
FFMC → | AMDM | Motomag | AFDM | Loisirs |
assurance | information | formation | notre avenir |
Le motard est toujours au centre
- 1868 : invention de la première moto
- 1980 : création de la FFMC
- 1983 : création de la Mutuelle des Motards
- 1998 : garantie corporelle incluse dans les contrats
- 1999 : casque remboursé en cas de chute du motard
- 2010 : la garantie SAVE reçoit le prix de l’innovation
- 2010 : création du Courtier du motard
- 2011 : 2-roues lab reçoit prix de l’innovation
- 2015 : création de la Fondation de la Mutuelle des motards
- 2016 : installation au nouveau siège social Mezz’o
- 2017 : création de « Ma perso »
- 2023 : lancement de l’offre Nouvelles mutualités
L’AMDM
Des missions au service des motards en complémentarité avec la FFMC.
- Appui terrain à la suite d’accidents (contrôle de l’adéquation entre la déclaration d’accident et la réalité par exemple, en se rendant sur place avec des bénévoles FFMC)
- Rencontres motardes (anciennement rencontres sociétaires puis Liberdays) ouvertes à tous, à l’initiative du délégué bénévole local, organisées par thème (présentation du gilet airbag, comment remplir un constat, visite d’un atelier mécanique, l’histoire du mouvement, premiers secours, etc.)
La FFMC peut demander au délégué l’organisation d’une rencontre (benevolat@amdm.fr) C’est un moment important, le but est de faire connaitre le mouvement (et ça se termine toujours par une table garnie).
Durée : soit la journée avec atelier le matin et balade l’après-midi, soit une après-midi, soit une soirée. Ça peut se faire 2 à 3 fois dans l’année. À chaque démarrage, petite vidéo pour présenter le mouvement d’environ 10 minutes avant d’aborder le thème.
La mutuelle met ses outils et moyens (professionnels de la communication) à la disposition des antennes.
À noter la participation de la Mutuelle aux actions commerciales chez les motocistes et lors des relais Calmos.
- « Com à 3 » = 2 délégués bénévoles + 1 représentant de l’antenne locale, motard expérimenté. Le déclenchement d’une « com à 3 » c’est à l’origine un motard qui ne trouve plus personne pour l’assurer. C’est ce qui permet à un motard de se remettre en selle après un accident responsable.
Pour la plupart ce sont des jeunes qui manquent d’expérience ou n’ont pas eu de chance, et que personne ne veut assurer. Typiquement, les motards sauvés par la « com à 3 » nous sont particulièrement reconnaissants. On a tous fait des bêtises, il faut faire confiance et surtout déclencher une prise de conscience au cours de l’entretien avec le prospect.
C’est un élément de maitrise de risque.
Quiz
- 80 % des délégués bénévoles sont issus du mouvement motard.
- Un délégué peut parler à un autre motard qu’un sociétaire.
- Il y a 86 antennes et seulement 83 délégués (certains départements en ont plusieurs).
- La FFMC peut parler de la Mutuelle en son absence.
Frédéric Jeorge – Présentation sur la compréhension des médias
Thème : la vérification des sources.
Vérité
Ce que la personne voit du sujet n’est pas toujours ce que perçoit un autre observateur. Il faut prendre en compte le « point de vue situé » (= le point de vue du public). Exemple pour le bruit : le son peut être beau à l’un et horrible à l’autre.
La vérité est quelque chose de complexe. Pour être objectif, il faut regarder l’éclairage qu’on va donner.
Pour informer, il faut faire un choix. Il y a un choix de cadrage à faire selon ce qu’on a envie de dire.
Chiffres
Exemple : 90 % des droitiers commettent des accidents (= proportion normale). Il faut expliquer le contexte. Il faut toujours les vérifier selon la source.
Sources : répartir leurs objectifs
- L’information pure, objective
- Vendre (promotion d’un produit)
- Convaincre
- Divertir
- Rentabiliser (publicité, abonnement)
Médias
Services publics (relativement indépendants, mais ça change rapidement, notamment avec la suppression de la redevance puisque maintenant c’est l’AN qui décide de son budget).
Le « Fonds pour l’indépendance de la presse » créé par Xavier Niels ne lui rapporte rien, ce qui n’est pas le cas des médias de Bolloré qui donnent ou laissent la parole à certaines personnes pour influencer ; il achète non pas des titres, mais son lectorat. Exemple : sur Géo, il n’y a plus rien sur le réchauffement climatique parce qu’il n’y croit pas (c’est un ultraconservateur catholique). Bolloré estime qu’il a une mission d’évangélisme de la population.
La loi sur la concentration de la presse n’est pas drastique, certains aimeraient que ça aille beaucoup plus loin. Ce n’est pas un danger uniquement politique, c’est aussi un problème dans l’industrie (tous les moyens sont permis, il n’y a pas de contrôle du fait de la concentration de la chaine de production).
Motomag est un média indépendant. Sa chance, c’est le public FFMC, Mutuelle, etc., qui n’a pas une présence étouffante, ne donne pas de directives. Motomag ne fait pas de prosélytisme, travaille à partir d’informations et, pour tout ce qui est polémique, pour convaincre en gardant une part d’objectivité.
Quand on fait un journal, la personne la plus importante est le lecteur à qui on doit le respect avec des arguments pour convaincre, être crédible, ne pas être excluant, traiter l’information la plus honnête possible en faisant attention à ses propres biais (interprétation). Une des clés du métier de journaliste est de prendre du plaisir à communiquer de l’information à ses lecteurs.
Q : est-ce qu’il n’y a pas de pression de la part des marques ?
R : on a eu, comme tout le monde, des problèmes avec des marques, mais aujourd’hui plus personne ne nous appelle pour ça. Ça fait partie du jeu, on n’a jamais eu de mesures de rétorsion parce que personne n’a d’intérêt à s’exclure du magazine (sauf une fois, sur pression du gouvernement).
Ne pas prendre pour argent comptant ce qu’on nous dit ou ce qu’on nous montre.
Nous sommes tous ici un média qui relaye de l’information. Diffuser un message faux, ça dessert notre crédibilité et la crédibilité du mouvement. Il faut être vigilant, toute information doit être vérifiée (vrai, traité dans les bonnes conditions).
À toute question d’un journaliste, prendre le temps, vérifier l’information, étudier les circonstances, creuser un peu. Ne jamais publier une information non vérifiée.
Pourquoi publier des fakes ?
- Faire du clic (argent facile)
- Promouvoir quelque chose (comme interdire les motos)
Une information transmise par quelqu’un de confiance a plus d’impact.
Il y a une nuance entre diffuser en interne pour informer les responsables de ce qui se dit et diffuser publiquement aux adhérents ou sur les réseaux ouverts.
Faux équilibre médiatique :
- réalité : consensus scientifique ≠ opinion dérangeante
- 90 % représentation équilibrée dans les médias
= 50 % perception par la population
Partager c’est déjà contribuer
Relayer une publication ou une source néfaste lui donne de l’importance pour les algorithmes qui vont, du coup, la proposer à plus de personnes. Plus un mensonge est répété, plus il devient une vérité (exemple : le bruit sauve des vies).
C’est facile de lancer un mensonge, le réfuter demande beaucoup d’énergie. Garder en tête que c’est tous les jours le 1er avril dans la presse.
Toujours regarder qui finance et qui publie l’information
- Une publication totalement contrôlée par son diffuseur est une publicité
- une source peut être correcte sur certains sujets et biaisée ou non qualifiée sur d’autres
Wikipédia peut être un premier pas de vérification (dans une certaine limite). Chaque média doit préciser qui est derrière son contenu et ses choix éditoriaux (« à propos »). Attention également aux sites de vérifications des faits (sites de « fact-checking »).
Images
Utiliser la recherche d’images inversées (IA, anciennes informations, montages, etc.)
Qui parle du sujet ? Un expert, spécialiste du sujet, ou juste une opinion ?
Ne pas se fier aux médias d’opinion ou médias qui ne sont pas concernés par le sujet. Attention également avec les sites parodiques, certains ne les distinguent pas des autres sites d’information.
Contenus générés par IA
De plus en plus d’articles sont rédigés par des robots : le contenu peut sembler cohérent, mais il est complètement creux (tenter la comparaison entre les œufs de poule et les œufs de vache).
Réseaux sociaux
Source d’information principale pour les plus jeunes (TikTok ou X). Tout le monde peut y poster n’importe quoi et il y a de moins en moins de modération. Ce n’est pas une source fiable.
Indices :
- fait ou opinion ?
- titres cohérents et mesurés ou racoleurs ?
- cite des sources vérifiables ou pas ?
- média indépendant ou sous contrôle ?
- position nuancée ou extrême ?
- accès direct ou archives ?
- bien écrit ou pas ?
- l’info existe sur une autre source ou pas ?
Même dans la vie privée ou associative, il faut une démarche scientifique : faits d’abord, analyse ensuite.
Plus l’information choque, plus il faut s’en méfier. Si ça joue sur les peurs = manipulation.
- L’info est-elle utile, factuelle, positive ou instructive ?
- Vérifiée et étayée ?
- La source mérite-t-elle d’être promue ?
Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés.
Panorama des travaux des groupes de travail et commissions de la FFMC
Groupe de travail Mobilités
- 36 membres
- 6 à 12 participants par réunion
- 1 réunion par mois
- 7 réunions depuis le lancement
Comment ne pas subir les ZFE ? Pour certaines questions, on n’a pas de réponse, le sujet doit être étudié.
Thèmes des réunions :
- mobilité du 2RM forces et faiblesses
- écoconception des 2RM
- conducteurs de transports en commun : démarche de lobbying, manifeste pour le 2RM
- histoire de la légalisation des CIF (trottinettes)
- audition des motards électriques
- compromis entre 2RM et aménagement de la route
Spécificité de ce groupe : il travaille à partir d’auditions, comme le CNSR, de façon à avoir des experts sur les sujets abordés.
Extranet du groupe de travail mobilité : contient tous les comptes rendus, documents utiles et la feuille de route du groupe.
Conclusion :
- pour être entendu, il faut s’ouvrir aux autres
- ne pas hésiter à aller voir les institutions (voire de s’imposer) pour la prise en compte des 2RM et se rapprocher des autres associations notamment cyclistes : ensemble = plus forts.
- apporter des solutions, ne pas seulement soulever les problèmes.
Les conclusions de ce groupe de travail seront présentées aux Assises 2025, avec des recommandations détaillées.
Groupe de travail Projet associatif
- 14 membres
- 6 à 9 participants par réunion
- 4 réunions depuis l’élargissement
Ce groupe de travail est une feuille de route, mais aussi un cadre de référence.
Objectif : ne pas élaborer seul des grandes orientations, s’appuyer sur un groupe de réflexion.
Historique :
- élaboration d’un constat d’un changement d’interlocuteurs
- équilibre dans les échanges avec les pouvoirs publics
- le monde de la moto en pleine évolution.
Le groupe a permis la création de la commission formation.
Il est nécessaire de s’interroger sur le contexte économique, associatif, sociétal.
Ateliers :
- schéma du projet associatif (constant, objectifs, moyens évaluations)
- notion de transversalité
- thèmes importants pour proposer des orientations.
Idée de cohérence : se poser pour revenir à nos valeurs, carrefour commun d’expériences.
Communication : le faire de façon différente pour s’améliorer.
Formation, transmission, communication, concertation.
Groupe de travail Jeunes
- 136 membres
- 10 participants par réunion en moyenne
- 1 plénière par mois
- Réunions dédiées aux projets
Objectif : rajeunir les adhérents
- 9 000 adhérents
- 5 ans en moyenne
- 640 adhérents de moins de 40 ans
Tous les membres sont issus de la FFMC et de la Mutuelle des motards.
Bilan 2024 : projets/réflexion
- cohésion, communication, projets de fond
- susciter l’intérêt pour la fédé, transmettre aux jeunes générations
- les plus jeunes préfèrent être sur le terrain, se balader, être dans le vivant
- démarche politique mais aussi fun, convivialité, bonne ambiance
→ « Il faut faire la différence entre être grincheux et être en colère. »
La volonté de s’engager n’est pas innée, elle se provoque. Ensemble = plus fort.
Commission formation
- 9 membres
- 8 à 9 participants aux réunions
- 3 réunions depuis les Assises 2024
Mise en place de la première formation, au bénéfice du BN mais aussi à l’ensemble des militants par visio.
- Création aux Assises 2024
- Composition du cahier des charges
- Formation du BN à Montreuil et en visio
- Réflexion sur le programme formation 2 025
- Établissement du programme des JTI
Calendrier : aller vite sans se précipiter, être précis, qualitatif, rythme de travail rapide.
Catalogue de formations (pour beaucoup issues des Conseils de Région)
- Formation des membres du BN et des coordinateurs et membres du bureau (présentiel à Montreuil)
- Visios mensuelles sur des thématiques (système d’information, FEMA ou AFDM, recours administratifs…)
- Formation des trésoriers
- Formation sur l’organisation des journées d’échanges pour la pratique des ERJ
- Formation médiatraining et sa mise en place
- Formation service d’encadrement
- Formation des outils projets
Mise en place de ces formations prévue au 1er semestre 2025. Prochaine réunion le 11 janvier 2025. En prévision, formation des militants, appel de formateurs en interne.
Concernant le service d’encadrement (et non de service d’ordre), il y a un vrai besoin de mise en commun d’expériences. Proposition de faire un petit groupe pour se pencher sur ce sujet.
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